jeudi 14 juillet 2011

La nuit je mens...


Le jour, je rêve dès que je ferme les yeux d'un personnel hospitalier imaginaire dans des couloirs eux bien réels. L'effet combiné du traitement et de la fièvre. Alors le soir, forcément, le sommeil me fuit...

Gémissements dans une chambre voisine. Douleur cyclique, la vraie : « Wooo-ayaye... » et puis trois mots courts que je n’arrive pas à retranscrire. En boucle, comme un mantra. C’en est presque beau. Mais à longueur de nuit, ça fait surtout chier tout le monde…

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